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Elle voit l’art comme un projet de vie


NYON - Jeune diplômée de l’ECAL, Stephanie Peck, 22 ans, prend son envol en tant que peintre et illustratrice. Portrait.

Super nanas peintes sur un vieux canapé, toiles colorées accueillant tour à tour animaux, aliments ou objets du quotidien, l’univers de Stephanie Peck est frais et rempli de fantaisie. C’est dans un espace situé au sous-sol de la rue Delafléchère, à Nyon, qu’elle partage avec un illustrateur et une créatrice de mode, que la Nyonnaise a aménagé son lieu de travail.

Après une année propédeutique entre 2012 et 2013 où elle se familiarise avec les bases techniques des différentes filières proposées par l’ECAL (Ecole cantonale d’art de Lausanne), Stephanie Peck choisit d’étudier les arts visuels. «Au début, la peinture, je détestais ça. J’étais un peu frustrée parce que je n’arrivais à rien», raconte-t-elle.

Il faudra la force de persuasion d’un professeur qui l’encourage à reproduire les tableaux classiques qu’elle apprécie pour que la jeune femme perfectionne ce qu’elle veut transmettre par son art. Pour elle: «Tout est parti de là.»

Un début d’activité sur les chapeaux de roue

Ayant trouvé sa patte artistique, axée autour de motifs légers répétés «comme du papier peint» et d’objets flottant sans décor au milieu de ses toiles, elle décide de se mettre à son compte. Après l’obtention de son Bachelor en juin 2016, aidée financièrement par ses parents et soutenue par son beau-père pour les questions techniques, elle crée son site internet et s’installe dans son atelier dès la rentrée. «Cette année, c’était un peu le test», précise-t-elle.

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